
Nuria Gorrite: «La société hygiéniste que nous bâtissons ne me plaît pas»
La présidente du gouvernement vaudois s’est confiée sur sa façon d’appréhender la crise sanitaire. Interview.
La présidente du gouvernement vaudois s’est confiée sur sa façon d’appréhender la crise sanitaire. Interview.
Les lourdes restrictions des libertés sont entrées en vigueur il y a exactement un an, le 16 mars 2020. L’occasion de revenir sur une année folle et d’en tirer de premiers enseignements qui seront utiles pour la suite.
La ministre genevoise des Finances ne cache pas son incompréhension face à l’absence de nouvelles aides financières de la part de la Confédération. Pour elle, ce sont les cantons qui devront assumer les conséquences des décisions du Conseil fédéral.
Le ministre genevois de la Santé revient sur les décisions récentes de son canton. Il s’exprime également sur les mesures fédérales et livre aussi son sentiment personnel par rapport à la gestion quotidienne de la crise.
En n’adoptant pas de plans d’aide à hauteur des sacrifices exigés par de nombreux secteurs économiques, la Confédération s’est elle-même mise dans une situation politique inextricable.
Le Conseil fédéral semble désormais compter essentiellement sur le masque pour réduire les contaminations. Les gestes barrière ne font plus l’objet de la même attention.
La Confédération cherche le bon équilibre entre mesures sanitaires restrictives et sauvegarde des intérêts économiques.
L’obligation du port du masque est une mesure attendue par de nombreuses personnes.