Ne laissons pas le coronavirus contaminer notre langage
Le débat contradictoire est nécessaire. La parole, comme la liberté, ne se donne pas: elle se prend.
Le débat contradictoire est nécessaire. La parole, comme la liberté, ne se donne pas: elle se prend.
Le célèbre auteur du roman d’anticipation «1984» s’est trompé. En partie. Et ce n’est peut-être pas pour le mieux.
L’alimentation est trop souvent considérée comme un sujet relevant du domaine privé. Mais la société a pourtant tout intérêt à lui porter intérêt. Témoignage sur un cheminement personnel.
La technologie permet à l’humanité de réduire les incertitudes de l’existence. Mais à quel prix?
En réponse à la chronique de Philippe Nantermod dans Le Temps intitulée «Données, c’est données, reprendre c’est voler».
Le rappeur français fait l’objet d’une vive polémique depuis quelques jours en Suisse romande pour sa venue aux Docks de Lausanne. Tentative d’apaiser le débat en s’attardant sur les paroles de l’artiste et non sur quelques extraits sélectionnés à bon compte.
Les entreprises considèrent les individus comme étant a priori consentants à l’utilisation de leurs données à des fins commerciales. Ce n’est pas acceptable.
Seule la compréhension des langages et autres protocoles employés par les technologies permettra aux individus de conserver leur liberté.
Une réflexion sera menée à Genève pour interdire la technologie dans les établissements de l’école obligatoire. Une proposition qui découle d’une vision anachronique de l’instruction publique.
Petite liste non exhaustive de réflexes à adopter pour éviter de partager de fausses informations sur les réseaux sociaux. Et surtout de les croire.