Haro sur le mythe de l’objectivité journalistique
Le journalisme est une matière profondément subjective. Il faut déconstruire le mythe d’une prétendue objectivité.
Le journalisme est une matière profondément subjective. Il faut déconstruire le mythe d’une prétendue objectivité.
L’ouvrage de Maria Santos-Sainz mérite le détour car il détaille avec précision en quoi l’œuvre journalistique de Camus demeure d’actualité.
Le débarquement sans égard de Pierre Ruetschi, rédacteur en chef du journal genevois depuis douze ans, démontre une fois de plus tout le mépris de Tamedia à l’égard de ses collaborateurs.
La mort du Matin n’est peut-être bien qu’une étape dans le désinvestissement massif de Tamedia dans les journaux romands. Il est temps pour la Suisse romande d’avoir un sursaut d’ego pour sauver sa presse.
Quelques messages choisis parmi des dizaines ayant afflué sur les réseaux sociaux concernant la grève d’une partie des collaborateurs romands de Tamedia.
Le rapport de force est malheureusement tout ce qu’il reste aux employés du groupe pour espérer peser sur ses décisions stratégiques. Leur mouvement doit être soutenu de manière inconditionnelle.
Les récentes décisions stratégiques du groupe de presse n’augurent rien de bon pour ses titres francophones. Texte mis à jour avec la disparition du Matin version papier.
Le journalisme d’opinion n’est pas un gros mot.
L’initiative No Billag s’oppose à la vision citoyenne du service public.
Les médias peuvent-ils cultiver une certaine neutralité? Dans les faits, c’est impossible. Explications.