La mort du Matin n’est peut-être bien qu’une étape dans le désinvestissement massif de Tamedia dans les journaux romands. Il est temps pour la Suisse romande d’avoir un sursaut d’ego pour sauver sa presse.
Quelques messages choisis parmi des dizaines ayant afflué sur les réseaux sociaux concernant la grève d’une partie des collaborateurs romands de Tamedia.
«Un mouvement dans lequel s’exprime à la fois le désespoir et les espoirs. » C’est en ces termes que le sociologue Pierre Bourdieu qualifiait une grève,
Le rapport de force est malheureusement tout ce qu’il reste aux employés du groupe pour espérer peser sur ses décisions stratégiques. Leur mouvement doit être soutenu de manière inconditionnelle.
Les récentes décisions stratégiques du groupe de presse n’augurent rien de bon pour ses titres francophones. Texte mis à jour avec la disparition du Matin version papier.
